Aujourd’hui, j’aimerais vous partager une vision que j’ai reçue il y a quelques temps et qui, désormais, me nourrit et met un baume sur mon cœur à chaque instant.
Au départ, une phrase, rapportée d’un médecin français par une amie, est venue éclairer un ressenti que je ne pouvais expliquer, et pourtant bien présent depuis le tout début de cette crise. En bref, cet homme affirmait que l’heure de départ d’une âme est prévue bien avant sa naissance et que rien ne peut y changer. Que nous avons en quelque sorte « signé un contrat » concernant le rôle que nous venons jouer sur Terre, et que peu importe ce qui se passe au sein de l’humanité, nous accomplirons notre destinée. Cela veut donc dire que tout, dans notre vie, se déroule déjà comme prévu, et qu’il ne sert à rien de redouter la mort puisqu’elle viendra au moment opportun… que nous soyons vaccinés ou non, que nous militions ou non, que nous déménagions ou non, que nous crevions de peur on non.
Puisque la mort n’est qu’un passage, rien ne sert de la redouter. Elle fait partie de l’expérience telle qu’imaginée avant même de s’incarner. L’ultime liberté intérieure provient de l’acceptation intrinsèque de cette réalité absolue. Sachant que je partirai un jour, l’important n’est donc plus de savoir comment ou à quel moment, de chercher à prolonger la vie à tout prix, mais plutôt de quelle manière ajouter de la saveur aux années. Viser la qualité de vie plutôt que la quantité.
Toute âme, incarnée sur Terre ou non, apporte avec elle son lot de qualités, de talents, de compétences et de dons spirituels qui non seulement enrichissent son existence, mais illumine la vie de tous ceux qui l’entourent. Notre façon de mourir, comme notre façon de vivre, peut inspirer et éveiller notre entourage.
Laissez moi vous donner deux exemples significatifs.
Il y a de cela une quinzaine d’année, une fillette de 9 ans a été kidnappée à son retour de l’école. Comme beaucoup d’enfants de son âge, elle portait une clé à son cou et revenait à la maison seule, étant « assez grande » pour faire le trajet à pied, et attendre tranquillement le retour de ses parents sans autre compagnie que celle de la télé. Sa disparition a fait couler beaucoup d’encre et la nouvelle de son décès en a attristé plus d’un. Mais ce que l’histoire ne dit pas, c’est ce que la mort de cette fillette a totalement transformé la réalité des enfants de l’époque. À partir de ce moment, les parents ont réalisé les dangers de laisser leurs enfants seuls à la maison. Des familles se sont organisées pour faire du covoiturage, les voisins pour accueillir quelques enfants tour à tour chez eux, les écoles ont créé davantage de garderies scolaires… et de moins en moins de jeunes de 9-10 ans se sont promené la clé au cou. Ce qui représentait la norme, le jeune solitaire sur qui l’on peut compter, est redevenu l’enfant insouciant dont on prend soin et que l’on protège.
Le même phénomène s’est produit en Inde lors du tsunami de 2004. Des milliers d’enfants se sont retrouvés orphelins, entassés pêle-mêle dans des camps, sans distinction de castes, d’origine ou de couleur de peau. Ayant perdu leurs parents, leurs familles et leur communauté, ils ont dû se créer de nouvelles bases et édifier de nouvelles croyances. Se pourrait-il que ces enfants, ayant grandi sous d’autres auspices que ceux prévus par la société au départ, contribuent aujourd’hui à modifier les normes traditionnelles ancestrales et transformer les structures hiérarchiques « de l’intérieur »?
Il est vain de sous-estimer la valeur d’une vie, d’une âme, d’un décès. Serait-ce possible que ceux de plus en plus nombreux qui décèdent actuellement aux quatre coins du globe aient choisi de faire partie de ce « passage », de ce grand « réveil » de l’humanité… afin de nous inciter à revenir à l’essentiel? À des valeurs plus saines et plus respectueuses de l’environnement, des relations plus harmonieuses, basées sur la communauté, le partage et la solidarité, à des choix favorisant la qualité de vie, plutôt que la durée…
Même si le départ des êtres qui nos sont chers nous attriste, peut-être pourrions-nous choisir de leur accorder quelques instants de notre temps précieux afin de les accompagner dans leur transition, les remercier de leur courage, honorer leur mémoire et, surtout, leur envoyer beaucoup de paix et d’amour?
Car voici mon secret, ma vision plus qu’inspirante : édifiante!
Imaginez que notre humanité, ayant atteint un point d’éveil culminant, soit en train de « basculer » dans la 5e dimension… et ce, peu importe ce qui est « fait » pour tenter de nous endormir?
Imaginez que tous ces êtres aimés qui quittent notre plan, ne subissent pas « la mort », mais plutôt « l’âme hors » du corps, le passage vers la Lumière, l’illumination divine, « l’âme OR » : notre Essence retrouvant sa véritable couleur, sa nature « Aurique ».
Imaginez qu’ils seront si nombreux à vibrer dans l’au-delà que nous, ici-bas, ne pourrons faire autrement que de ressentir leur Présence lumineuse à nos côtés. Qu’un beau matin, ou une nuit, au pied de notre lit, un parent, un ami, un être cher à notre cœur, nous apparaisse de manière claire et indéniable. Que nous puissions revoir nos bien-aimés disparus, leur parler, réaliser qu’ils continuent d’exister et qu’ils demeurent à nos côtés, seulement sous une autre forme.
Imaginez que le voile se lève de plus en plus entre les dimensions et, qu’ainsi, nous puissions nous rendre compte que « la mort » n’existe pas. Qu’elle n’est ni une fin, ni un anéantissement, mais bien une transition vibratoire vers un autre plan, tout simplement.
Enfin, imaginez que chaque jour davantage de consciences s’éveillent au fait que notre corps, notre dimension physique, n’est qu’un véhicule, le vaisseau que notre âme a choisi pour expérimenter et transmuter la matière en pure Lumière… Et qu’il s’agisse là de la véritable « Apocalypse », la Révélation, le dénouement ultime : la fin de la peur, la fin de la mort, la fin de nos limites illusoires.
L’Apocalypse ne serait donc pas un scénario de film fantastique à grand déploiement, avec des destructions massives, des vaisseaux spatiaux venant envahir la Terre et des humains transformés en zombie ou en robots, mais plutôt un grand Réveil INTÉRIEUR : une prise de conscience irrémédiable de notre Immortalité, de nos possibilités Illimitées, de notre Souveraineté Infinie et Éternelle…
Ainsi, la nouvelle Ère, le paradis sur Terre, la 5e dimension, ne dépendrait pas d’un sauveur, d’une prise de pouvoir du peuple ou d’une libération « extérieure », mais bien d’un changement de fréquence intérieure : la disparition de toutes nos peurs et de nos croyances limitatives… L’accueil et l’intégration de l’Énergie Divine Co-Créatrice dans chaque parcelle de notre Être, imprégnant et illuminant chaque cellule, chaque atome, chaque dimension en nous-mêmes… et manifestant ainsi notre Âme Or : notre Corps de Gloire, notre Merkaba, notre véhicule Ascensionnel tant attendu.
Telle est la vision que je souhaitais vous partager. Puisse-t-elle aiguiller votre âme, votre cœur et votre esprit vers la Lumière, là ou tout est possible, là où tout est déjà accompli. Et s’il suffisait de dire OUI?
Message de Bianca Gaia/Diane LeBlanc,
publié le 26 novembre 2021 sur www.biancagaia.com.
Vous êtes invités à faire circuler ce texte à condition d’en respecter l’intégralité,
y compris ces quelques lignes.